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Le STENC (schéma pour la Transition Energétique de la Nouvelle-Calédonie) de 2016 a pour ambition que le territoire puisse produire l’équivalent de ce que consomme la Distribution Publique (particuliers et professionnels, hors métallurgie du Nickel) à partir d’énergies renouvelable à partir de 2030. Ce sera le cas dès 2025.

 

Données au 30 juin 2024

Le gouvernement fixe les besoins dans le cadre du STENC, de la programmation pluriannuelle des investissements (PPI) et de la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE).

Ensuite, les porteurs de projets suivent le parcours du porteur de projet d’un moyen de production.

Enercal a été créée en 1955 pour construire et exploiter l’aménagement hydroélectrique de Yaté, qui reste aujourd’hui le plus gros moyen de production d’électricité d’origine renouvelable.

Depuis, elle a développé les moyens de production électrique qui permettait de répondre à l’électrification du territoire et aux besoins des calédoniens, en portant une attention toute particulière aux moyens de production renouvelables :

• Dans les années 80, Enercal met en service la centrale hydroélectrique de Néaoua à Houaïlou et une douzaine de micro centrales hydrauliques.

• Dans les années 90, Enercal met en service la centrale hydroélectrique de la Thu à Houaïlou ; elle développe également les tous premiers kits photovoltaïques destinés à alimenter en électricité les zones isolées non raccordables au réseau.

• Dans les années 2000, Enercal met en service la première ferme éolienne du territoire à l’Ile des Pins et ouvre la filière biomasse avec l’huile de coprah sur Ouvéa.

• Depuis les années 2010, Enercal et sa filiale Enercal Energies Nouvelles développent plusieurs moyens de production renouvelables dont des moyens innovants pionniers en Nouvelle-Calédonie.